À TOI MON PÈRE (A = refrain, B= couplet, C= Pont)
B)
Pendant des années
Tu m’as rabaissé
Pendant ces années
J’ai vécu engoissé
J’ai avancé
Les yeux bandé
Mais d’espoir,
Je l’ai rêvé
Que tu laisses tomber
Toutes tes armures
Pour laisser voir,
ta vrai nature
A)
À toi mon père, Vie de calvaire, À toi mon père, Une vie d’enfer,
À toi mon père
Une vie de peur, À toi mon père, Vie de terreur
B)
Mais tes menaces répétées
Ont fini par m’obligé
À prendre m’a place
Avec audace, pour effacer
Ton identité que tu t’es permit de m’imposer
J’ai laissé tomber cette vie angoissée
Par une vie que j’ai méritée
A)
À toi mon père, Vie de calvaire, À toi mon père, Une vie d’enfer,
À toi mon père
Une vie de peur, À toi mon père, À toi mon père
C)
Des années, j’me suis chercher
Pour trouver mon identité
J’ai couru à droite
J’ai couru à gauche
J’ai essayé de marcher droite
Sans faire de faute
A) À toi mon père, Vie de calvaire,
À toi mon père, Une vie d’enfer, À toi mon père
Une vie de peur, À toi mon père
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de droits d'auteur
00039969
Propriété
Nathalie Gélinas
L’ange
de la rue
Je suis
l’ange de la rue
Vous me
croisez chaque matin
En moi
vous avez déjà cru
Mais je
suis ignorante des joies de la vie
Que je
sais aujourd’hui pourrie !
Enchaîné
à la nuit
Égaré
dans le temps et la vie
L’essentiel
est perverti
Je suis
l’ange de la rue
Pas un démon
aux cornes crochu
Je suis
l’ange de la rue
Pas un démon
aux cornes crochu
Pour
vous je suis un pauvre rejetons
Votre 30
sous vous le garocher
Vous me
regardez, pour mieux critiquez, pour mieux juger
Dans vos
beaux habits
Et vos
confortables souliers
Et que
Passent les journées,
A ne faire que mendier,
Et tenter d’oublier tous les déboires de ma journée
Rien
n’aspire de moi
Ni le respect ni la foi
Vous
m’jugez car je ne suis que poison
Un
pauvre rejetons
Je suis
un ange de la rue
Qui vie
nu de tout espoir
La rue
c’est mon refuge, c’est mon oratoire
La
drogue, l’alcool c’est mon exutoire
Au cœur
de la nuit qui semble austère
Existe
ici bas une personne solitaire
Je suis
l’ange d’la rue
Pas un démon
aux cornes crochues
Je suis
l’ange de la rue
Pas un démon
aux cornes crochu
En espérant
sortir du désespoir
La
prochaine fois que vous passerai devant moi
Écoutez
votre voix
Regardez-moi
et ne jugez plus
Car
Je suis
l’ange d’la rue
Pas un démon
aux cornes crochues
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JE SUIS VIDÉE J'aimerais voir mon âme en paix Ne plus sentir mon corps meurtri Par ces années de folies Être prêt de la nature endormie Sans bruit, sans crie Juste endormie J'ai peur de me réveiller et De ne plus respirer Je me voie comme un fantôme Se promenant dans l'ombre Traversant ce monde dont j'ai parfois honte Je suis vidé, je n'ai qu'une envie fermer mes yeux et rêver pour mieux me transporter au-delà de l'adversité A travers cette grande sphère Il s'avère que tout n'est pas vert Je dois me battre, je dois combattre pour survivre dans cet univers Alors je préfère garder les yeux fermer pour rêver D'une vie ou les gens souri aux plus mal-nanti Mais surtout je ne veux céder ma place Aux rapaces de cet univers trop vaste Mais surtout je ne veux céder ma place Aux rapaces de cet univers trop vaste Rapaces , Rapaces, rapaces Aidez-moi à me trouver dans ce monde Car je suis vidé Je n'ai qu'une envie C'est de Fermer mes yeux et rêver Pour mieux me transporter aux delà de l'adversité
Mais j'ai peur de ne plus me réveiller Et de ne plus respirer Si ce monde ne c'est ce pas de tourner Si ce monde ne c'est pas de hurler Comment j'vais faire pour me retrouver Entre ce rêve ou la réalité
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